Une fois les cas d’usage définis, passons à l’étape concrète de mise en place du cas d’usage, pour "stresser" le logiciel et éprouver la solution.
Cette démonstration peut être réalisée par les équipes de l’éditeur logiciel devant vous, ou vous pouvez également demander un accès temporaire à l’outil pour que les équipes puissent tester elles-mêmes. Dans les deux cas, il est important de réaliser un retour d’expérience associant tous les acteurs du test, à l’issue de tous les cas d’usage, pour évaluer collectivement les résultats, et éventuellement opérer un comparatif entre les solutions testées.
Nous vous invitons à prêter particulièrement attention aux points suivants :
- La facilité d’adoption par les équipes.
- La rapidité d’exécution des tâches essentielles.
- Le niveau de réponse fonctionnelle aux cas d’usage
- La qualité de l’accompagnement et du support client.
Bien sûr, aucun logiciel ne couvrira 100% des besoins formulés par votre équipe, à plus forte raison de la manière technique dont vous l’aviez envisagé.
C’est précisément pour cette raison que les cas d’usage sont précieux : ils vous offrent la possibilité de choisir parmi les solutions forcément imparfaites celle qui convient le mieux, avec toutes ses limites actuelles. C’est aussi l’occasion de se rappeler que le meilleur logiciel n’est pas celui qui accumule le plus de fonctionnalités, mais celui qui répond le mieux aux usages prioritaires des professionnels.
Une fois le logiciel sélectionné, les cas d’usage définis lors de la phase de test serviront de base pour la recette préalable au déploiement et à la formation des équipes.
Comment construire ses cas d’usage